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La poesia Les feuilles mortes par Jacques Prévert (cantada par Yves Montand en 1950, con musica par Joseph Kosma) en la franses orijinal e traduida a elefen par Pierre Morin.
O! Me ta vole tan ce tu recorda
La dias felis quando nos ia es amis.
En acel ora, la vive ia es plu bela,
E la sol plu ardente ce oji.
La folias mor se colie con pala
Tu vide, me no ia oblida…
La folias mor se colie con pala,
La recordantes e la regretes ance.
E la venta norde trae los
En la note fria de la obli.
Tu vide, me no ia obli
La canta ce te canta a me.
Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n’ai pas oublié…
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi.
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l’oubli.
Tu vois, je n’ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
Refren:
Es un canto ce sembla a nos,
Tu, tu ia ama me e me ia ama tu
E nos ia vive ambos juntada
Tu, tu ia ama me e me ia ama tu;
Ma la vive separe los ci se ama
Tota dulse, sin fa ruido
E la mar sutrae de la arena
La pasos de la amantes desunida.
C’est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m’aimais et je t’aimais
Et nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
La folias mor se colie con pala
La recordantes e la regretes ance.
Ma me ama silentios e fidos
Surie sempre e grasia la vive.
Me ama tu tan, tu ia es tan bela,
Como tu ta vole ce me obli tu?
En acel ora, la vive ia es plu bela
E la sol plu ardente ce oji.
Tu ia es me plu dulse ami.
Ma, me no sabe fa de la regretes
E la canta ce tu ia canta
Sempre, sempre me va oi la!
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie
Je t’aimais tant, tu étais si jolie,
Comment veux-tu que je t’oublie?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais
Toujours, toujours je l’entendrai!
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Lo ia es automatada jenerada de la paje corespondente en la Vici de Elefen a 28 novembre 2024 (08:56 UTC).